La Commission européenne a dévoilé aujourd'hui son plan d'action pour renforcer la démocratie dans l'UE dans un souci dans soutenir le processus électoral, protéger la liberté de la presse et le pluralisme. Ce plan d'action arrive à un moment critique.
Pour faire taire les critiques, nombre de responsables politiques corrompus et chefs d'entreprises puissants attaquent en justice journalistes et activistes. Une pratique qui menace l'état de droit dans l'UE. Voici les solutions que nous proposons.
Les médias hongrois sont désormais presque tous contrôlés par le gouvernement. Plusieurs membres du personnel de Index, un site web d'information indépendant, ont démissionné suite au licenciement du rédacteur en chef de ce média.
La Cour européenne des droits de l'homme a défendu la liberté de la presse en donnant gain de cause aux journalistes indépendants interdits d'entrée au Parlement, qui avaient porté plainte contre la Hongrie.
Au cours des premiers mois du troisième gouvernement dirigé par le parti SDS et Janez Janša, le Bureau de la communication de ce dernier a joué un rôle central dans les attaques visant les "ennemis" habituels du parti au pouvoir : les ONG et les médias.
Nos représentant.e.s politiques sont censé.e.s agir dans notre intérêt. Quand ils ont en face d'eux une presse libre et indépendante qui les interroge sur leurs décisions, les dirigeant.e.s sont plus enclins à remplir leur rôle.
Liberté de la presse, engagement auprès de la société civile, droit à la santé publique et droit à la sécurité sociale : voici quatre instruments que les droits humains nous offrent pour traverser cette pandémie de coronavirus.
L'État hongrois a bafoué les droits d'un journaliste en ne le laissant entrer dans aucun camp de réfugié.e.s sur le sol hongrois, a déclaré la Cour européenne des droits de l'Homme. Le journaliste, Illés Szurovecz, était représenté par l'UHLC.
La police belge poursuit en justice trois associations pour avoir présenté des photographies de policiers lors d'une exposition artistique sur la répression policière. Les policiers invoquent leur droit à l'image.
Le mouvement de jeunesse du plus petit parti de la coalition au pouvoir en Hongrie doit présenter ses excuses à Menedék, l'Association hongroise pour les migrants, après que la réputation des ONG a été salie par le porte-parole du parti.