Lors d'un débat sur l'accord UE-Turquie sur la migration, des députés européens des libertés civiles ont insisté sur la nécessité de respecter le droit international et les normes communautaires. Les députés ont interrogé la commission sur les centres d'accueil grecs, les effectifs du personnel (et leur expérience) qui conduit les entretiens de demande d'asile, et sur les conditions des réfugiés en Turquie. Une fois que les traversées irrégulières depuis la Turquie se seront considérablement réduites, le programme d’admission humanitaire volontaire pourra commencer.