Suite à une expulsion forcée, 500 Roms, incluant des femmes enceintes, des personnes âgées, des personnes malades ainsi que des enfants se sont retrouvés à la rue. Cette décision des autorités locales constitue indéniablement une violation du droit international et des droits humains, et laisse des familles entières en situation de crise et de désespoir, les rendant plus vulnérables, sans qu'aucune solution de recours ne leur soit offerte. L'expulsion n'a pas été accompagnée d'une notification officielle et les familles n'ont pas été prévenues à l'avance. Seules 11 personnes ont été replacées.