Au terme d'un vote serré à l'AG des Nation Unies le 21 novembre, l'expert des nations unies sur la violence et la discrimination fondées sur l'orientation sexuelle et l'identité du genre (récemment nommé) sera autorisé à poursuivre son travail. Le vote est survenu suite à la demande de 850 ONG de 156 pays auprès des États membres de l'ONU de prendre position pour reconnaître que les droits des LGBT sont des droits de l'homme. Le vote a rejeté les propositions des pays africains qui souhaitaient arrêter le travail de l'expert tant que l'ON ne débattrait pas de son "statut légal".