Le tribunal provincial de Ceuta a réouvert l'enquête autour de la mort de 15 migrants tués alors qu'ils tentaient de franchir la frontière. Ils avaient reçu des projectiles anti-émeutes de la Guardia civil espagnole (gendarmerie). La décision judiciaire survient après que la Cour d'instruction a accepté de classer sans suite cette affaire, une décision dont plusieurs d'ONG avaient fait appel (Coordinadora de Barrios para el Seguimiento de Menores y Jóvenes, Spanish Commission for Refugee Aid et l'Observatoire du système pénal et des droits de l'homme).