Après des années de discussion, le gouvernement et les autorités municipales ne sont pas parvenues à trouver un accord sur l'assistance pour les réfugiés dont les demandes d'asile ont été refusées. Ce sujet est litigieux: le premier ministre et de nombreux sympathisants sont en faveur d'une déportation immédiate sans aucune assistance pour les demandeurs d'asile rejetés, mais les autorités des villes considèrent que sur les plans juridiques et éthiques, ils doivent fournir une assistance et ne pas laisser les migrants à la rue. Une résolution devrait être votée avant les élections en mars.