La Commission européenne a estimé que si aucun progrès significatif n'était atteint le 23 mai dans le fonctionnement du Tribunal constitutionnel polonais, Frans Timmermans devrait approuver l'Avis sur l'État de droit et le remettre aux autorités polonaises, qui auront deux semaines pour y répondre. Ensuite, la CE reprendra le dialogue avec le gouvernement afin de résoudre la crise constitutionnelle. Si les objections formulées par la CE ne sont pas abordées de manière satisfaisante, une recommandation sera délivrée, la procédure du cadre de l'État de droit atteindra ensuite sa seconde phase.