Des représentants d'ONG ont rencontré les membres de la Commission de Venise qui élaborent un avis sur la nouvelle loi sur la police polonaise. Des membres de la Fondation d'Helsinki pour les droits de l'homme se sont penchés sur les défauts de cette loi : l'accès extrêmement simplifié de la police aux données en ligne, le manque de garanties pour la protection du secret professionnel, aucune obligation d'informer un individu faisant l'objet d'activités opérationnelles sur la procédure, et un manque de contrôle des opérations des forces spéciales visant à récupérer des données internet.